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→Citations
==Citations==
« Le 20 avril 1913, au combat de Sangal, étant agent de liaison de son capitaine, a fait preuve en portant des ordres sous le feu, de beaucoup de sang-froid et d'intelligence. A aidé à recueillir et à transmettre à l'artillerie des rensignements qui lui ont permis de diriger efficacement son tir. »
« Le 28 aôut 1914, a été blessé par 3 fois en portant les ordres du cdt de compagnie et en donnant les renseignements nécessaires à l'exécution de ces ordres. Malgré les douleurs et la perte de son sang, a tenu avant de se faire évacuer, à rendre compte de l'exécution de sa mission au cdt de compagnie et a été blessé une 4e fois. »
« Officier très énérgique, a repris du service au front malgré une grave blessure reçue en 1914 et qui lui a fait perdre l'usage de sa main droite. S'est signalé dans la période du 2 au 10 novembre 1916 dans des circonstances climatériques très dures et sous un gros bombardement. A eu les pieds gelés, est resté néanmoins à la tête de sa troupe jusqu'à la relève. »
« Blessé très grièvement au début de la guerre, a demandé à revenir au front dès sa guérison. Commande avec vigueur et autorité. »
« Commandant de compagnie d'une bravoure et d'un sang-froid exceptionnel. Le 28 aout 1918, a brillament entrainé sa compagnie à l'attaque du village de PAssel. Le 29, a pris le commandement de son bataillon dont presque tous les officiers avaient été mis hors de combat dans des circonstances rendues plus difficiles encore par la traversée pénible des marais de la Verse et un bombardement terrifiant. Entré un des premiers dans Noyon, a su amener sa troupe à temps pour repousser la contre-attaque ennemie. N'a cessé pendant les journées qui ont suivi de faire preuve des plus belles qualités militaires.»
« Cdt de compagnie exceptionnel. Le 8 novembre 1918, dans la marche sur Hirson, commandant la tête d'avant-garde, a su manoeuvrer avec persévérance et énergie sous le feu extrêmement violent et précis des arrières-gardes ennemies qui prenaient sa compagnie d'enfilade. A enlevé un nid de mitrailleuses particulièrement gênant pour la progression du bataillon et a gardé toute la journée le contact de l'ennemi, renseignant sans cesse le commandement et permettant ainsi de poursuivre le mouvement en avant sans perdre de temps. »
« Officier énérgique doué d'un tempérament militaire qui s'est brillament manifesté à la tête d'une compagnie de mitrailleuse qu'il a instruite, entrainée et commandée avec distinction, obtenant dans maints combats des résultats précieux et glorieux notamment devant Verdun en octobre et en novembre 1917. Attaque de la côte 344. »