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[[Madeleine Michelis]], née à Neuilly-sur-Seine en 1913 et morte à Paris le 15 février 1944, est une [[résistante]] française. | [[Madeleine Michelis]], née à Neuilly-sur-Seine en 1913 et morte à Paris le 15 février 1944, est une [[résistante]] française. | ||
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Chevalier de la [[Légion d'honneur]], à titre posthume, avec la citation suivante: « ''Jeune Française admirable, qui s'est entièrement dévouée à la cause de la Résistance, professeur agrégée au lycée d'Amiens, a tout sacrifié au service de la Libération. S'est particulièrement occupée du passage des prisonniers évadés et d'aide aux parachutistes et aviateurs alliés. Arrêtée le 12 février 1944, transférée à Paris, a refusé de parler malgré les pires traitements. A été étranglée le 15 février 1944, trouvant une mort glorieuse au milieu des tortures supportées avec un courage magnifique et sans trahir son secret. Modèle d'abnégation, de foi patriotique'' ». | Chevalier de la [[Légion d'honneur]], à titre posthume, avec la citation suivante: « ''Jeune Française admirable, qui s'est entièrement dévouée à la cause de la Résistance, professeur agrégée au lycée d'Amiens, a tout sacrifié au service de la Libération. S'est particulièrement occupée du passage des prisonniers évadés et d'aide aux parachutistes et aviateurs alliés. Arrêtée le 12 février 1944, transférée à Paris, a refusé de parler malgré les pires traitements. A été étranglée le 15 février 1944, trouvant une mort glorieuse au milieu des tortures supportées avec un courage magnifique et sans trahir son secret. Modèle d'abnégation, de foi patriotique'' ». | ||
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Version actuelle en date du 20 août 2014 à 13:58
Madeleine Michelis, née à Neuilly-sur-Seine en 1913 et morte à Paris le 15 février 1944, est une résistante française.
Biographie
Chevalier de la Légion d'honneur, à titre posthume, avec la citation suivante: « Jeune Française admirable, qui s'est entièrement dévouée à la cause de la Résistance, professeur agrégée au lycée d'Amiens, a tout sacrifié au service de la Libération. S'est particulièrement occupée du passage des prisonniers évadés et d'aide aux parachutistes et aviateurs alliés. Arrêtée le 12 février 1944, transférée à Paris, a refusé de parler malgré les pires traitements. A été étranglée le 15 février 1944, trouvant une mort glorieuse au milieu des tortures supportées avec un courage magnifique et sans trahir son secret. Modèle d'abnégation, de foi patriotique ».
Croix de guerre 1939-1945 et médaille de la Résistance. Médaille de la Liberté attribuée par le Président des États-Unis à titre exceptionnel. Médaille des Justes parmi les Nations, le 24 novembre 1997. Son nom est inscrit sur le mur du Mémorial Yad Vashem (Israël).
Relevés Mémorial
- [http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=33077 Relevé n° 33077] plaque commémorative du Lycée Madeleine Michelis à Amiens
- [http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=28974 Relevé n° 28974] Fontaine-le-Port, sépulture individuelle
- [http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=7146 Relevé n° 7146] Fontaine-le-Port, monument aux morts
Liens externes
- Madeleine Michelis, sur Wikipédia.
