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Jean Pierre Augustin Petit

1 530 octets ajoutés, 1 mai 2013 à 19:34
Citations
==Citations==
* 1) Citation à l'ordre des troupes d'occupation du Maroc Oriental
« Le 20 avril 1913, au combat de Sangal, étant agent de liaison de son capitaine, a fait preuve en portant des ordres sous le feu, de beaucoup de sang-froid et d'intelligence. A aidé à recueillir et à transmettre à l'artillerie des rensignements qui lui ont permis de diriger efficacement son tir. »
* 2) Citation à l'ordre de la [[Division marocaine]] N° 473 du 4/12/1915 (combats de La Fosse-à-l'Eau/bataille de Launois du 28 août 1914)
« Le 28 aôut 1914, a été blessé par 3 fois en portant les ordres du cdt de compagnie et en donnant les renseignements nécessaires à l'exécution de ces ordres. Malgré les douleurs et la perte de son sang, a tenu avant de se faire évacuer, à rendre compte de l'exécution de sa mission au cdt de compagnie et a été blessé une 4e fois. »
* 3) Citation à l'ordre de la [[37e division d'infanterie (France)|37e Division]] N° 195 du 4/12/1916 (Douaumont, novembre 1916)
« Officier très énérgique, a repris du service au front malgré une grave blessure reçue en 1914 et qui lui a fait perdre l'usage de sa main droite. S'est signalé dans la période du 2 au 10 novembre 1916 dans des circonstances climatériques très dures et sous un gros bombardement. A eu les pieds gelés, est resté néanmoins à la tête de sa troupe jusqu'à la relève. »
* 4) Décoré de la légion d'Honneur et croix de guerre avec palme du 25/12/1916
« Blessé très grièvement au début de la guerre, a demandé à revenir au front dès sa guérison. Commande avec vigueur et autorité. »
* 5) Citation à l'ordre de la 37e Division N° 355 du 3/10/1918 (Passel/Noyon, aout 1918)
« Commandant de compagnie d'une bravoure et d'un sang-froid exceptionnel. Le 28 aout 1918, a brillament entrainé sa compagnie à l'attaque du village de PAssel. Le 29, a pris le commandement de son bataillon dont presque tous les officiers avaient été mis hors de combat dans des circonstances rendues plus difficiles encore par la traversée pénible des marais de la Verse et un bombardement terrifiant. Entré un des premiers dans Noyon, a su amener sa troupe à temps pour repousser la contre-attaque ennemie. N'a cessé pendant les journées qui ont suivi de faire preuve des plus belles qualités militaires.»
* L'historique du 2e RMT (Jules Carbonnel, Imprimerie libraire éditeur 1922, Alger) relate ce fait d'arme à Noyon (aout 1918) : "De rue en rue, de maison en maison, la bataille recommence, et le barrage reprend plus violent encore, écrasant le quartier que nous envahissons, protégeant le retrait des masses qui s'enfuient, désormais impuissantes à défendre la ville, et gagnent rapidement les pentes opposées où va se concentrer la résistance suprême. Un gros obus éclate au Poste de Commandement qui vient de s'installer : le lieutenant Bertrand est mortellement t frappé ; la tête en sang, le bras gauche arraché, très grièvement blessé , le Commandant De Savy tombe à côté de lui. Plus loin meurt le jeune Sous-Lieutenant Bouklika dont la récente épaulette avait marqué la valeur, et dont les Indigènes étaient justement fiers. Le capitaine Monchy est blessé à son tour ; dans toutes les sections de grands vides se sont faits. Mais la marche reprend, la mission se poursuit ; et tandis qu'on relève les blessés, le Lieutenant Petit prend le Commandement des restes du Bataillon, et, rasant le Nord de la ville, l'entraîne jusqu'à Dame-Journe. En fin de matinée le bombardement redouble ; aux explosifs se mêle l'ypérite : il faut quitter la place désormais intenable. Trop réduites, ne pouvant gagner de l'avant, les Compagnies doivent revenir en arrière, et passent en réserve aux lisières Sud du Quartier de cavalerie dont les Zouaves viennent de se rendre maîtres" 6) Citation à l'ordre du régiment N° 295 du 5/10/1918* 7) Citation à l'ordre du 8e Corps d'Armées N° 400 du 14/12/1918 (Hirson, novembre 1918)
« Cdt de compagnie exceptionnel. Le 8 novembre 1918, dans la marche sur Hirson, commandant la tête d'avant-garde, a su manoeuvrer avec persévérance et énergie sous le feu extrêmement violent et précis des arrières-gardes ennemies qui prenaient sa compagnie d'enfilade. A enlevé un nid de mitrailleuses particulièrement gênant pour la progression du bataillon et a gardé toute la journée le contact de l'ennemi, renseignant sans cesse le commandement et permettant ainsi de poursuivre le mouvement en avant sans perdre de temps. »
* 8) Citation à l'ordre de la brigade N° 57 du 3/04/1919 (Verdun, attaque de la côte 344, octobre-novembre 1917)
« Officier énérgique doué d'un tempérament militaire qui s'est brillament manifesté à la tête d'une compagnie de mitrailleuse qu'il a instruite, entrainée et commandée avec distinction, obtenant dans maints combats des résultats précieux et glorieux notamment devant Verdun en octobre et en novembre 1917. Attaque de la côte 344. »
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