Jean-Claude Michon, né le 14 septembre 1944 à Cholet - 49
'''A notre descendance d'un ou plusieurs siècles dans le futur '''
Bienvenue, dans la découverte de l'histoire inachevée de nos Ancêtres, à laquelle, toi aussi, tu pourras contribuer.
'''A notre descendance d'un ou plusieurs siècles dans le futur'''
Bienvenue, dans la découverte de l'histoire inachevée de nos Ancêtres, à laquelle, toi aussi, tu pourras contribuer : J'ai concrètement et sérieusement commencé les recherches généalogiques 'Révéler ce qui était en 1995.sommeil''' :
J'ai concrètement et sérieusement commencé les recherches généalogiques en 1995. Jusqu'à cette période, je ne connaissais rien de mes racines, sinon. Sinon, que j'avais entendu dire, à plusieurs reprises, par : Par mon père, sans trop y prêter attentionà l’époque, qu'Auguste MICHON, notre grand-père, est serait né en Vendée, à Martinet. Par ma mère, que notre grand-mère maternelle, est était le fruit d'une relation avec un homme issu de la Bourgeoisie des Herbiers 85... Les circonstances de la vie, ont fait, que vers la cinquantaine, j'ai éprouvé, comme d'autres à cette tranche d'âge, le besoin d'en savoir un peu plus sur nos origines. A ce moment précis, j'ai dû faire le dur constat, que notre père se trouvait dans l'impossibilité d'évoquer quelques souvenirs, sur l'histoire de nos ancêtres, au-delà de son père, qu'il connaîtra peu, se trouvant orphelin de lui à l'âge de quatre ans...
Les traditionnelles archives départementalescirconstances de la vie, vont d'abord très vite me faire remonter jusqu, que vers la cinquantaine, j'en 1680ai éprouvé, pour notre seul patronyme comme d'autres à cette tranche d'héritage. Puis, la pré-retraite arrivantâge, cela me permettra de consacrer plus le besoin d'en savoir un mi-temps, à la recherche généalogique, pendant ces premières années de temps libre...peu plus sur nos origines ; citation :
Je vais « La vie doit être vécue en regardant vers l’avenir, mais elle ne peut être comprise qu’en se retournant vers le passé » de Soïen Kier Kegoard A ce moment précis, j'ai dû faire le dur constat, que notre père se trouvait dans l'impossibilité d'évoquer quelques souvenirs, sur l'histoire de nos ancêtres, au-delà de son père, qu'il connaîtra peu, se trouvant orphelin de lui à l'âge de quatre ans... Les traditionnelles archives départementales, vont d'abord très vite, pour notre seul patronyme d'héritage, nous permettre de remonter jusqu'en 1680. Puis, la pré-retraite arrivant, cela permettra de consacrer plus d'un mi-temps, à la recherche généalogique, pendant ces premières années de temps libre... Nous allons, dans une première démarche relativement courte, avec beaucoup d'événements que je qualifierais volontiers ensuite, d'extraordinaires, dans un temps relativement courtavec le recul, retrouver le cheminement géographique, de nos ancêtres patronymiques, en remontant l'espace et le temps : de Cholet 49, vers le littoral du 85, ; département qui compte en France, le plus de familles MICHON. '''Bizarrerie peu banale, me ''' : Me semblera-t-ilalors, car on trouve, ensuite à l'époque, la plus grande concentration de ce patronyme, dans la région Rhône-Alpes (et classiquement, comme la plupart des patronymes, dans la région Parisienne). Les deux pôles : Ouest et Est, nous font poser l'hypothèse, jadis, d'une migration Italienne :
Les deux pôles : Ouest et Est, me font poser l'hypothèse, jadis, d'une migration Italienne :
- par la montagne, pour le Rhône-Alpes;
- par la mer, pour la Vendée.
De Martinet , en passant par Vairé, St Julien-des-Landes, ou la Mothe-Achard, vers direction St Martin-de-Brem, on arrive à aborde la mer, d'où sont sans doute arrivés les MICHON de Vendée (la plus forte concentration de ce patronyme étant présente sur le ce littoral). A "la Mignotière" de St Martin-de-Brem, Pierre MICHON époux de Marie ARTAUD, y était "Laboureur". L'un de ses fils, François Aimé MICHON, notre trisaïeul, époux de Jeanne GAUTREAU, d'abord journalier, comme beaucoup à l'époque, s'installera "aux Suries", à St Julien-des-Landes, où lui et sa nombreuse descendance, occuperont ce lieu, comme "Métayers", pendant presqu'un siècle, de 1840 à 1940 environ.
A "la Mignotière" Nous avons pris le temps de St Martin-de-Bremnous rendre sur les lieux, Pierre MICHON pour y découvrir l'endroit, époux qui de Marie ARTAUD, y était "Laboureurla petite Surie". L'un de ses fils, François Aimé MICHON, notre trisaïeul, époux de Jeanne GAUTREAU, d'abord journalier, comme beaucoup à l'époque, s' installera "aux Suriesla grande Surie", à St Julien-des-Landes, où lui et sa nombreuse descendance, occuperont ce lieu, comme sera dénommée plus tard: "Métayerles Suries", pendant presqu'un siècle, de 1840 à 1940 environ.
J'ai pu me rendre sur les lieux, pour y découvrir l'endroit, qui de "la petite Surie" à "la grande Surie" s'appellera plus tard: "les Suries". La ferme , se trouve à la jonction du territoire des deux communes : St Julien et Martinet.
En 2000, cette ferme ce lieu était exploitée exploité par les MUZARD, dont le grand-père décédé peu de mois avant notre passage, aurait connu et travaillé en voisinage avec nos MICHON.
Aux "Suries", ou où ils arriveront entre 1839 et 1841 (présents au recensement de 1841), il y avait trois "feux", nous dira l'occupant des lieux. Deux "feux ", à droite de la route, sur la commune de St Julien, un "feu ", sur la gauche de cette même voie d'accès, commune de Martinet... Mon plus grand souhait sera chaque fois exhaussé, quand, en plus de la recherche verticale, nous aurons la chance, avec les moyens modernes, évolutifs, de communication et d'échange, de pouvoir poursuivre et d'élargir la recherche horizontale, c'est à dire : trouver des collatéraux et leur descendance, jusqu'à la période contemporaine, quand l'opportunité se présentera. Pour cela, les groupes d'échanges et de discussions, sur le thème de la généalogie, seront d'un grande aide (CGW49, 85, 79 etc...).
Au tout début de mes recherches, côté MICHON, par l'annuaire téléphonique, j'ai eu déjà l'immense plaisir de retrouver plusieurs lignées de descendances vivantes issues des "Suries"...
Pourtant, MICHON Jean Marie, cité au moins deux fois, comme oncle, restait non trouvé, jusqu'à juin 2008. Il épouse NAULEAU Marie Louise. On les trouve à Beaulieu-sous-la-Roche 85. Leur fille ainée, s'allie à un GUIBERT 'Un de la Limouzinière 44. Ils nnos plus grands souhaits''apparaissent plus sur le recensement de 1911, à Bourg-sous-la-Roche. Deux de leurs enfants muteront en Charente, où ils s'y marient en 1914 et 1928. Les parents et grand-parents les y ont ils suivi ?...:
Le Il est chaque fois exhaussé, quand, en plus troublant : le hasardde la recherche verticale, nous avons la chance, mavec les moyens modernes évolutifs de communication et d'a fait découvrir échange, de pouvoir poursuivre et d'élargir la recherche horizontale. C’est-à-dire : Quand l'existence d'une grande tanteopportunité se présente, Léontine MICHONtrouver des collatéraux et leur descendance, également inconnue de notre père; vous imaginez : "Sa tante !" jusqu'à la période contemporaine.
Nous Pour cela, les groupes d'échanges et de discussions, sur le thème de la savons maintenant décédée en bas âgegénéalogie, sont d'une grande aide (CGW49, 85, 79 etc)...
Nous tenterons de compléter notre arbre de cousinage, au fur et à mesure de l'accès aux actes plus contemporains (limités longtemps aux 100 dernières années et ramenés à 75 ans, suivant le décret modifiant la loi en 2008).
Après plusieurs visites infructueuses de cimetières, puis une nouvelle évolution d'actes mis en ligne, le décès de notre bisaïeul MICHON Auguste, sera enfin trouvé fin 2008 : en 1903, à Martinet, où il y était cantonnier. C'est aussi dans cette commune, que notre grand-père y sera forgeron, avant de muter sur Paris, puis se replier ensuite à Cholet 49, afin d' échapper à Comment aborder la "grosse berta", au moment de la guerre 1914-18...recherche''' :
Cela aura toujours été un Côté MICHON, notre premier outil fut l'annuaire téléphonique. Nous aurons la chance et l'immense plaisirde retrouver plusieurs lignées de descendances vivantes issues des "Suries". Pourtant, Jean-Marie MICHON, cité au moins deux fois, comme oncle de notre père, restait non trouvé, jusqu'à juin 2008. En fait il épousera Marie-Louise NAULEAU. On les trouve bientôt à Beaulieu-sous-la-Roche 85. Leur fille ainée, s'allie à un GUIBERT de pouvoir trouver la Limouzinière 44. Puis ils n'apparaissent plus sur le recensement de 1911, à Bourg-sous-la-Roche. Deux de leurs enfants mutent en Charente, où ils s'y marient en 1914 et 1928. Les parents et grands-parents les y ont-ils suivi ?... Le plus troublant : un hasard, nous a fait découvrir l'existence d'autres liens une grande tante, Léontine MICHON, également inconnue de notre père; vous imaginez : « Sa tante ». Mais maladroitement, nous ferons fausse route, la notre nous la savons maintenant décédée en bas âge ! Nous tenterons de compléter notre arbre de cousinage, au fur et contacts à mesure de l'accès aux actes plus contemporains(limités longtemps aux 100 dernières années et ramenés à 75 ans, suivant le décret modifiant la loi en 2008). Après plusieurs visites infructueuses de cimetières, puis une nouvelle évolution d'actes mis en autresligne, le décès de notre bisaïeul : Auguste MICHON, sera enfin trouvé fin 2008, en 1903, à Martinet, où il y était cantonnier. C'est aussi dans cette descendancecommune, que notre grand-père, lui, y sera forgeron, avant de muter à Paris, des puis de se replier aussi vite ensuite sur Cholet 49, afin d'échapper à la "Suriesgrosse Berta" , qui menaçait la capitale, au moment de St Julien des Landes, en Vendée la guerre 1914-18. '''Toujours un plaisir pour nous''' : Pouvoir trouver d'autres liens et contacts contemporains et ainsi élargir le cercle de nos cousins, qui s'y rattachent, ; comptant encore à ce jour toujours comme en 2009 de nombreux inconnus...
Nous n'avons notamment, qu'une seule et unique photo de notre grand-père. Rien de nos bisaïeuls et encore moins de nos trisaïeuls MICHON !...
Alors cousins futurs, issus des "Suries", nous espérons grâce à vous, un jour, nous , ou notre descendance, pouvoir compléter l'album!Il y a bien une photo de groupe qui dort ici, ou là, dans un tiroir...
Il y a bien une photo Pour que nos potentiels cousins contemporains, puissent plus facilement se situer au niveau de groupe qui dort icileur branche; afin que tous aient la possibilité d’apporter leur contribution, nous présentions dès juillet 2008, pour la première fois, ou làtout ce que nous avions de l'arbre de descendance, de l'origine patronymique MICHON, dans un tiroir...jusqu'à 1907 :
Pour que nos potentiels cousins contemporains, puissent plus facilement se situer au niveau de leur branche, afin que tous puissent apporter leur contribution, nous présentions en juillet 2008, pour la première fois, l'arbre de descendance complet de nos recherches, de l'origine patronymique MICHON, jusqu'à 1907Voir notre indexation sur mes « arbres. net » du CDIP''' :
A l'occasion d'une riche rencontre, c'est tellement toujours plus vivant, d'évoquer la mémoire familiale et les histoires de vie. Cela permet ainsi, parfois, d'apporter des compléments au niveau de l'arbre commun, en photos, !..http://geneatique.net/genealogie/mimiche14944/
Au 1.06.2003 notre recherche comptait plus de 80 000 personnes, en liens quelconques, dont 56 000 en liens de sang . Six ans plus tard, notre recherche en comptera plus de 360 000, avec les divers cousinages trouvés, au 31.03.2009.
Nous avons des liens génétiques, comme nous '''A l'avons déjà évoqué, par la branche des LELIEVRE, issus des Yvelines 78, qui, associés aux GRIGNON, sont eux, issus de Seigneurs du Bas Poitou occasion d'une rencontre''' : dont les FRANCOIS du Temps, BOUQUET de la Chevalerie, DOUESPE (de la), MAJOU.... Cette ascendance, nous fait cousiner, entre autre, avec les branches communes de Georges CLEMENCEAU, grand politique populaire en son temps, dit "le tigre" ou "le père la victoire" et de Charles BONCHAMPS, le célèbre général Vendéens...
A noterC'est tellement toujours plus vivant, que pour les Pays d'évoquer la mémoire familiale et quelques anecdotes de nos histoires de Loirevie. Cela permet aussi, pendant cinq années durantparfois, nous avons été participants et avons apporté notre contribution d'apporter des compléments au fichier niveau de Michel POTIER : l'arbre commun (voir pour illustration sur notre site dit "La Marquise"; comptant à fin 2006MICHONDURAND, quelques 450 000 personnes en liens. Gratuit, convivial et innovant un de nos albums photos à ses débuts et pendant la période, site, qui depuis début 2007, s'est refermé et privatisé, en s'organisant en association, moyennant une cotisation de 10 Eurospage40 « Portraits rares vers 1850 » !...
S'y sont trouvés accumulés par nous et Au 1.06.2003 notre famillerecherche comptait plus de 80 000 personnes, quelques 343 couples d'ancêtres faisant cousiner nos enfants avec d'autres participants contemporainsen liens quelconques, à la date du 17dont 56 000 en liens de sang.11.2006 (deux Six ans plus tard, notre recherche en notre abscumulera plus de 360 000, peu d'évolutionavec les divers cousinages trouvés, puisqu'au 2831.03.092009. Au moment de l’actualisation de cet article en 2014, nous n'en sommes qu'à 373, soit 30 de plus, dont 209 pour Marie-Claire et 164 pour moi-même). S'y ajoutera149 cousinages, au niveau de nos petits fils, côté maternel SIGONNEAU-DEVY (168 en maris 2009). proches d’un fichier contenant quelques 600 000 personnes !
AncêtresComme nous l'évoquons sur notre site (passé par chez « Orange », « Voilà » et depuis à « Sfr »), nous avons des liens génétiques, par la branche des LELIEVRE, issus des Yvelines 78, qui, associés aux GRIGNON, sont eux, plus concentrés sur le sud-est issus de Seigneurs du Bas Poitou : dont les FRANCOIS du 49Temps, BOUQUET de la Chevalerie, le nord du 79DOUESPE (de la), voir aussi sur le 37 et MAJOU; branches qui rejoignent, par leur grandles VEILLON des Sables-mère maternelled’Olonne, nous entre ouvrent les BASCHERportes de la généalogie des Rois de France (mais avant 1600, CHESNONl’abs d’actes et des référentiels historiques, parfois disparates, donc incertains, BINEAUnous limitent à de nébuleuses hypothèses, BRYqui amènent donc aux plus grandes réserves)... présents dans le "dictionnaire des familles illustres de l'Anjou".
Au 28.03.2009Plus proche de nous cette ascendance, nous fait toutefois très officiellement cousiner, entre autre, avec les branches communes de Georges CLEMENCEAU, grand politique populaire en son temps, dit "le site « La Marquise » affichetigre" ou "le père la victoire" et avec Charles BONCHAMPS, pour nos autres recherches collatérales aussi transmises avant 2007 :le célèbre général Vendéen...
Yvette GIRARD : 151 cousinages;
Suzanne FOULONNEAU '''A noter, que pour les Pays de Loire''' : 119 cousinages;
René ALBERTEAU Pendant cinq années durant, nous avons été participants et avons apporté notre contribution au fichier de Michel POTIER : 103 cousinagessite dit "La Marquise";comptant à fin 2006, quelques 450 000 personnes en liens. Gratuit, convivial et innovant à ses débuts et durant la période. Site, qui depuis début 2007, s'est privatisé et refermé, en s'organisant en association, moyennant une cotisation de 10 Euros annuels.
Aimée Esther DURAND : 78 cousinages;S'y sont trouvés accumulés par nous et notre famille, quelques 343 couples d'ancêtres faisant cousiner nos enfants avec d'autres participants contemporains, à la date du 17.11.2006 (deux ans plus tard, en notre abs, peu d'évolution, puisqu'au 28.03.09, nous n'en étions qu'à 373, soit 30 de plus, dont 209, pour Marie-Claire et 164 pour moi-même).
Amand FILLAUDEAU S'y ajoutera 149 cousinages, au niveau de nos petits fils, côté maternel SIGONNEAU-DEVY (168, en mars 2009). Ancêtres, eux, plus concentrés sur le sud-est du 49, le nord du 79, voir aussi sur le 37. Ils rejoignent, par leur grand-mère maternelle : 23 cousinages;les BASCHER, CHESNON, BINEAU, BRY... présents dans le "dictionnaire des familles illustres de l'Anjou" (ADFA).
Au 28.03.2009, le site « La Marquise » affiche, pour nos autres recherches collatérales aussi transmises avant 2007: dont Yvette GIRARD : 151 cousinages; Suzanne FOULONNEAU : 119 cousinages; René ALBERTEAU : 103 cousinages; Aimée Esther DURAND : 78 cousinages; Amand FILLAUDEAU : 23 cousinages… Avec ou sans « la Marquise», nos travaux continuent !......
Nous commencerons notamment, à rechercher pour nos petites filles, l'ascendance de leur mère, qui se concentre sur les Landes, le pays Basque, Français et Espagnol...
Depuis le A compter du 12.11.2008, je me porterai nous nous porterons sur les actes en ligne de Bourgogne, pour tenter d'amorcer la généalogie de notre beau-frère, à partir du couple : Paul TOUTIN Paul et DEMONTFAUCON Marie LouiseDEMONTFAUCON, mariés le 08.08.1905 à Chapelle-sous-Uchon 71, ses grandgrands-parents paternels.
Belle évolution en quelques semaines. les Les arbres sur Généanet GénéaNet y étant nombreux et les actes en ligne...
En décembre 2008, nous avons largement encouragé « GENEADP », qui va devenir « noms de Vendée », pour l'excellente initiative de Dominique PENISSON, avec son moteur de recherche à l'accès gratuit. Outil facilitant le ciblage de la recherche d'un acte. Complément fondamental, en amont du site des AD de Vendée. Espérons que les généreux contributeurs n'auront pas à regretter leurs dons, par un revirement futur, à l'identique de "la Marquise" (tu donnes, puis tu paies), ou plus récemment une rupture de suivi, avec difficultés d’accès aux contributions, comme « Geneafutur » !?...
Espérons que les généreux contributeurs n'auront pas à regretter leurs dons, par un revirement futur, à l'identique de "la Marquise" (tu donnes, puis tu paies) !?...
Une charte concrétisant les engagements verbaux, manque au moment, pour le respect des bénévoles et des généreux contributeurs, dans une parfaite transparence et pour la pérennité du projet !...
Après deux années de pose, Durant une année comme administrateur, puis après un an, uniquement comme bénévole pendant cinq années, nous avons repris, en 2008, après deux années de pose, une adhésion au cercle de généalogie de Cholet, mais cette fois comme simple chercheur !...
Sur le "net", nous respecterons '''En ligne''' : Nous respectons strictement la confidentialité des échanges et la liberté de chacun, c'est pourquoi nous ne présenterons présentons sur GénéaNet, que les ascendances directes, avant 1907, sans les Liens des cousinages contemporains..... Notre généalogie présentée ainsi, se trouvera trouve donc limitée , dans un premier temps, au 1/10ème, environ, de notre fichier d'étude, après déduction des contemporains des 75 dernières années (législation oblige).
Pour la descendance de collatéraux, les échanges restant toujours confidentiels, en ce qui nous concerne.
Généalogiquement, Marie-Claire, mon épouse, ne s'intéressera pas du tout au virus cultivé....
'''Généalogiquement mon épouse''' : Marie-Claire, ne s'intéressera pas du tout au virus cultivé ! Comment l'ai-je contracté ?... En fait, c'est une longue histoire, qui prend petit à petit sens et forme dans mes nos mémoires de recherches, qui doivent compter, à ce jour, plus de pages que je ne peux vous , ou veux, en transmettre par "le Net". Pense-bête, mémoire, réflexion philosophique, outil de travail complété par un certain nombre de nombreuses photos retrouvées et collectionnées. Sans oublier les récits et secrets de famille, notamment l'ascendance nobiliaire, par ma notre grand-mère maternelle, Marie MARTINET, en tant que fille, dite "naturelle", puisque non légitimée !... '''La tradition verbale de quatre générations''' : Beaucoup d'opiniâtreté, de patience, de travail, d'analyse et de synthèse, de hasard, de rencontres et de chance aussi, ont pu nous faire découvrir nos liens génétiques, d'une grande partie de cette ascendance, avec des Seigneurs du Bas-Poitou et nous amène à faire évoluer aussi cette branche, qui représente pour nos enfants, côté paternel, quand même, le huitième de leur généalogie. Les recherches, de notre branche maternelle, font aussi apparaître une autre origine assez honorable, vers 1600, par le patronyme NORMANDIN, comme fermier général, avec des alliances à des filles de notaires. Nous n'aurons pas autant de chance, sur la Tessoualle 49, durant ces vingt dernières années de recherches intensives, pour le géniteur de notre bisaïeul : Paul Ernest NORMANDIN, qui porte donc aussi, bien évidemment, le patronyme de sa mère, Palmire Nathalie NORMANDIN. Lui-même fils naturel, mais là, le secret de famille est resté bien hermétique, ou le temps a fait son oeuvre ! Toutefois tout aussi inespéré, début 2014, nous faisons une découverte majeure au niveau de cette énigme à partir du double prénom fort rare, de notre ancêtre : « Paul Ernest » et d’un souvenir lointain ressurgissant par la mémoire verbale de notre mère Simone NORMANDIN, j’avais alors 11 ou 12 ans. Synthèse et trouvailles qui deviennent dès lors « Le fleuron de nos recherches » (voir sur la fiche de notre ancêtre Paul Ernest NORMANDIN, sur notre arbre en ligne). '''Origines géographiques''' : Nos ancêtres sont principalement issus de la Vendée historique, qui s'étendait du sud de la Loire, jusqu'à la mer, devenue, essentiellement, le 85 : la Vendée et le 49 : le Maine-et-Loire. Dans le choletais pour les quatre dernières générations, comme tout bon « Maugeois » de vieilles souches, nous avons aussi des ascendants, qui trouvent leur origine en Vendée, sur ce nouveau découpage en département, à l'issue de la révolution. Autour de 50% en deçà de 1900, comme nous l'avons déjà évoqué (avec leurs dits "brigands" : paysans courageux; commerçants et artisans travailleurs; mais aussi leurs bourgeois et seigneurs); un peu en Deux-Sèvres et en Loire-Atlantique. '''Notre patronyme d'héritage est principalement issu de''' : JOURNALIERS , METAYERS, LABOUREURS, SABOTIERS, MEUNIERS,TAILLEURS d'habits, MARECHAUX-FERRRANTS; COUTURIERES, ARTISANS et ENTREPRENEURS ... Par son grand-père TREPAGNE, 1/4 de l'ascendance de Marie-Claire, mon épouse, se trouve dans la Somme, près d'Amiens. Nos petits fils, ont une forte présence d'ancêtres, sur tout le nord du département 79, de St Aubin-de-Baubigné à Bouillé-Loretz. Une branche vient aussi de la Sarthe, une autre de l'Indre-et-Loire. Nos petites filles ont leur ascendance maternelle, concentrée entièrement sur le Sud-Ouest de la France, avec une légère pénétration sur le nord de l'Espagne... '''Comment publier''' ? '''Concernant nos notes en cours''' : Elles portent pour titre global : « Nos mémoires de recherches » Nous avions en disponible structuré, au 31.03.2009 : « Nos AUVINET et le Moulin-aux-Moines de Mouchamps » (10 pages);
La tradition verbale de quatre générations, beaucoup d'opiniâtreté, de patience, de travail, d'analyse « LELIEVRE et de synthèse, de hasard, de rencontres et de chance aussi, ont pu nous faire découvrir nos liens génétiques, d'une grande partie de cette ascendance, avec des Seigneurs du Bas-Poitou et nous amène à faire évoluer aussi cette branche, qui représente pour nos enfants, quand même, le huitième de leur généalogie, côté paternel...la "tortue" » (70 pages);
Même si nos recherches font aussi apparaître une origine assez honorable, vers 1600, par notre branche NORMANDIN, comme fermier général, avec des alliances à des filles « Les Jardiniers de notaires, nous n'aurons pas autant de chance, sur la Tessoualle 49, pour le géniteur de notre bisaïeul : Paul Ernest NORMANDIN, qui porte le patronyme de sa mère, NORMANDIN Palmire. Aussi fils naturel, là, le secret de famille est resté bien hermétique !...rue du Transval (31 pages);
Concernant nos notes « Les DUPEYROUX ont-ils émigré en cours, portant pour titre : "Nos mémoires de recherches" :Amérique » (14 pages);
Nous avions en disponible structuré, au 31.03.2009 :« Une grande tante oubliée » (10 pages);
- Nos Auvinet et le Moulin-aux-Moines « Pour un Louis de Mouchamps plus » (10 43 pages);
- LELIEVRE et la "tortue" (70 pages);
- '''Les Jardiniers de la rue du Transval (31 pages);chapitres initiaux'''
- Les DUPEYROUX En prévision et en cours de traitement, à superviser ont-ils émigré dû être retraités en Amérique fichiers RTF et PDF (14 pagesdepuis les modifications adoptées par le logiciel Généatique 2009);, dont :
- Une grande tante oubliée (10 pages);
- Pour un Louis de plus (43 pages);'''Généalogie Jean Claude MICHON''':
« Une grande tant oubliée »; « Quand y en a marre »; « L'ascendance de nos sabotiers de Vendée »; « Les descendants des "Sueries" »; « A la rencontre de ma grande tante »; « Léon PISSOT maire, parrain de ma grand-mère »; « La petite fille de mon grand oncle »; « Les soeurs de Joseph BOUSSION »; « L'ascendance de Marie DEFOY »; « Nos dits brigands de Vendée »; « Les frères DEFOY, de ma grand-mère bisaïeule »; « Descendance DEFOY de la Salle-de-Vihiers »; « Descendance DEFOY de Treize-vents »; « Descendance DEFOY de Valanjou »; « L'ascendance de Paul Ernest »; « Nos Martinet viennent-ils de Martinet 85 »; « LELIEVRE et "la Tortue" »; « Notre grand-mère de cœur »; « Et si mon épouse était ma cousine »; « Nos Collatéraux descendants de Marie d'AUBIGNE »…
Les chapitres en prévisions et en cours de traitement, à superviser et à retraiter en fichiers RTF et PDF de l'époque (depuis les modification adoptées par le logiciel Généatique 2009) :
'''Généalogie Marie Claire DURAND''':
« D'où nous vient cousine Jeanne »; « Pour un Louis de plus »; « Les soeurs de Louis Félix »; « L'ascendance VIGNET-BEAUFRETON »; « Nos AUVINET et le Moulin-aux-Moines »; « Les jardiniers de la rue du Transval »; « Aristide pourrait être mon père »; « La descendance de Victor »; « Les descendants de Marie Antoinette »; « Le dernier des MORIN »; « Il y a combat et COMBAS »; « Ou ont bien pu migrer les DUPEYROUX »; « Lien d'Généalogie MICHON Jean ClaudeEmile et de Marie »; « Peut-on parler de Léopold »; « Il n'y a pas que le cirque »; « L'ascendance-descendance de Jacques Amand »; « L' :ascendance TREPAGNE PLUQUET »; « L'ascendance MERAND-UZUREAU »; « Un abbé à caser »; « Les deux lits de Marie MERAND »; « Les GRIFFON de la place « Travot »; « Quand une Germaine » ...
Une grande tant oubliée; Quand y en a mare; L'ascendance de nos sabotiers de Vendée; Les descendants des "Sueries"; A la rencontre de ma grande tante; Léon PISSOT maire, parrain de ma grand-mère; La petite fille de mon grand oncle; Les soeurs de Joseph BOUSSION; L'ascendance de Marie DEFOY; Nos brigands de Vendée; Les frères DEFOY, de ma grand mère bisaïeule; Descendance DEFOY de la Salle-de-Vihiers; Descendance DEFOY de Treize-vents; Descendance DEFOY de Valanjou; L'ascendance de Paul Ernest; Nos Martinet viennent-ils de Martinet 85; LELIEVRE et "la Tortue"; Notre grand mère de coeur; Et si mon épouse était ma cousine; Nos Collatéraux descendants de Marie d'AUBIGNE;
'''Sur nos arbres en ligne''':
Il vous faudra parcourir les ascendances, pour en apprendre un peu plus sans attendre une sortie d’un CD, qu’en l’état de projet et pour que nos notes, très fournies, puissent continuer à prendre forme et sens afin qu'''Généalogie Marie Claire DURAND''' :elles puissent un jour, rejoindre, en "bon ordre", un petit éditeur local, pour y être paginées, peut-être à votre initiative. Mais quand !?
D'où nous vient cousine Jeanne; Pour un Louis de plus; Les soeurs de Louis Félix; L'ascendance VIGNET-BEAUFRETON; Nos AUVINET et le Moulin-aux-Moines; Les jardiniers de la rue du Transval; Aristide pourrait être mon père; La descendance de Victor; Les descendants de Marie Antoinette; Le dernier des MORIN; Il y a combat et COMBAS; Ou ont bien pu migrer les DUPEYROUX; Lien d'Emile et de Marie; Peut-on parler de Léopold; Il n'y a pas que le cirque; L'ascendance-descendance de Jacques Amand; L'ascendance TREPAGNE PLUQUET; L'ascendance MERAND-UZUREAU; Un abbé à caser; Les deux lits de Marie MERAND; Les GRIFFON de la place Travot; Quand une Germaine.
Nous envisagerons de proposer à terme un '''Le CD, qui donnerait accès à notre arbre complet; pourra y être intégré llui'''avancée de "Nos mémoires de recherches", illustrées de nos photos, dont les plus anciennes, avec les non identifiés !...:
Restera Il donnerait accès à en définir le juste prixnotre arbre dynamique complet et complémentairement pourrait y être intégré l'avancée de "Nos mémoires de recherches", pour défraiements !..illustrées de leurs photos, dont les plus anciennes, avec aussi celles qui resteront non-identifiés au jour de l’édition.
'''Origines géographiques''':Si ce n’est de notre vivant, je le suggère ici à mes descendants,
Nos ancêtres sont principalement issus Je ne prends aucun engagement et j'ai bien l'intention de la Vendée historique, qui s'étendait du sud laisser un peu de la Loire, jusqu'à la mer, devenustravail, en gros : le 85, la Vendée et le 49matière, le Maineà nos petits-etenfants, ou arrières petits-Loire. Dans le choletais pour les quatre dernières générationsenfants, comme tout bon choletais de vieilles souches, nous avons aussi des ascendants, qui trouvent leur origine sur ce nouveau découpage du département Vendée, à l'issue de la révolution. Autour de 50% en deçà de 1900, comme nous l'avons déjà évoqué (avec leurs dits " brigands": paysans courageux; commerçants et artisans travailleurs; mais aussi leurs bourgeois et seigneurs); un peu en Deux-Sèvres et en Loireenfin sait-Atlantique. on ?
Notre patronyme d'héritage est principalement issu de : A notre descendance, dans plusieurs décennies ou plusieurs siècles !...
JOURNALIERS A partir du moment où les actes, METAYERSsont en ligne, LABOUREURSaussi pour le 49, SABOTIERSnous nous obligerons,progressivement, à récupérer les preuves objectives qui nous manquent encore à ce jour.
MEUNIERSIl vous restera toujours à faire,TAILLEURS d'habitsmême en recherche fondamentale, MARECHAUXnotamment en Vendée et en Deux-FERRRANTS; Sèvres.
COUTURIERESS'y ajoute maintenant le 37, ARTISANS et ENTREPRENEURS ..le 40, le 64, le nord de l'Espagne, pour nos petites-filles.
Le 19 et le 71 pour des collatéraux.
Par son grand-père TREPAGNE, 1/4 de l'ascendance de Marie-Claire, se trouve dans la Somme, près d'Amiens.
'''Nos petits fils ont une forte présence dquartiers''ancêtres, sur tout le nord du département 79, de St Aubin-de-Baubigné à Bouillé-Loretz. Une branche vient aussi de la Sarthe, une autre de l'Indre-et-Loire. :
Nos petites filles ont Ils sont parus à leur ascendance maternelleniveau d'évolution de l'époque, concentrée entièrement sur dans le Sud-Ouest "il était une fois Chanteloup", de Juin 2005, à la FranceSLA, avec une forte pénétration sur le nord cercle de généalogie de l'Espagne... Voir aussi notre indexation sur mes « arbres.net » du CDIP : Cholet;
Adresse de notre arbre strict d’ascendance : « http://geneatiquegeneweb.net/genealogie/mimiche14944/michon-durand-et-associesgeneanet.org/MICHON_Francois_Aime_236334387?mimiche » ;
Adresse de notre site personnel actualisé qui donne aussi accès à deux albums, des photos déjà identifiées et restant encore à identifier. « http://jcm44.perso.sfr.fr/MICHONDURAND/page20.html »
Il vous faudra parcourir notre ascendanceNous développons aussi sous l’identifiant « persocholet », pour en apprendre un peu plus et attendre la sortie de notre CD; voir encore quelques années de personnalités locales, plus, pour que nos notes, très fournies, peut-être à votre initiative, puissent prendre forme et sens et qu'elles se décident à rejoindre, en "bon ordre", un petit éditeur local, afin d'y être paginées . Mais quand !?... Je ne prends aucun engagement et j'ai bien l'intention de laisser un peu de travail, en la matière, à mes petits-enfants, ou arrières petits-enfants, enfin sait-on ?... A notre descendance, dans plusieurs décennies ou plusieurs siècles !...moins connues
A partir du moment ou les actes, sont en ligne, aussi pour le 49, nous nous obligerons, progressivement, à récupérer ces preuves objectives. Il vous restera encore beaucoup à faire, même en recherche fondamentale, notamment en Vendée et en Deux-Sèvres.
S'y ajoute maintenant le 37, le 40, le 64, le nord de l'Espagne, pour nos petits enfants. le 19 et le 71 pour des collatéraux.
Fort heureusement pour le 85, les actes sont "en ligne" depuis Septembre 2003. L’évolution des moyens :
Fort heureusement département précurseur, pour le 85, les actes sont "en ligne" gratuitement depuis Septembre 2003. Le 44 et le 79 ont suivi cette initiative depuis. Un grand merci donc aux Conseils Généraux des départements qui ont et qui continuent à franchir le pas.
Un grand merci donc La mairie de Cholet, dès le troisième trimestre 2007, s'est démarquée du 49, qui enfin, au Conseils Généraux 18.04.2008, rendra ses archives accessibles en ligne. Cette commune présentant sur le "net", les actes des départements qui ont franchi le pasparoisses de "Notre-Dame" et "Saint-Pierre". Actes paroissiaux de 1600 environ, à la révolution de 1789 ; au niveau de l'état civil, jusqu'à 1880, dans un premier temps.
La mairie A noter : qu'y est associée une base de Choletrecherche, dès qui vous fait cibler et aller très rapidement vers l'acte que vous cherchez (sans passer par le troisième trimestre 2007fastidieux page par page, s'est démarquée du 49, qui enfinacte par acte). Net progrès technique aussi, pour enregistrer un acte au 18format de votre choix.04La sélection de l'acte en entier devient possible et aisée, même si l'acte dépasse le cadre de l'écran.2008Bravo à l'équipe responsable des archives de Cholet et "chapeau bas" aux techniciens, rendra ses archives accessibles auteurs de ces avancées techniques. La recherche en ligneest largement facilitée.
Cette commune présentant sur le "net"Quand certains font du protectionnisme, freinent des quatre fers, ou compliquent les actes de "Notre-Dame" et "Saint-Pierre"accès, actes paroissiaux de 1600 environ, à d'autres font la révolution de 1789 et au niveau de l'état civil, jusqu'à 1880, dans un premier temps. A noter : qu'y sera associé une base preuve de recherche, qui vous fera cibler et aller très rapidement percées significatives vers l'acte que vous cherchez (sans passer par le fastidieux page par page, acte par acte). Net progrès technique aussila modernité, pour enregistrer un acte au format de votre choix. La sélection de l'acte en entier devient possible et aisée, même si l'acte dépasse le cadre de l'écran. Bravo à l'équipe responsable des archives de Cholet et "chapeau bas" aux techniciens, auteurs de ces avancées techniques. La faciliter la recherche en est largement facilitée.
Quand certains font du protectionnisme et freinent des quatre fersCertes, d'autres font la preuve de percées significatives vers la modernitédéjà les difficultés naturelles, pour facilité la recherche généalogique. si je puis dire, après vingt ans d’intenses recherches, n’ont pas suffi à nous évincer d’une évolution significative récente, que l’on n’attendait toutefois pas à mars 2014 :
Malgré toutes ces évolutions, 1/64ème Nous pointons ici les branches ascendantes de notre généalogiebisaïeul Paul Ernest NORMANDIN et les grandes difficultés que nous avons dû affronter pour arriver à raccorder objectivement la parenté Catherine CERCLAIS, branche du père née relativement loin de notre grandla Chapelle-père maternel, est vouée Rousselin (nid à rester morte. Comme nous l'avons évoquéce patronyme), celui-ci, dit aussi enfant naturel, est parti, lui, s'il le connaissait, avec le secret, notre mère étant en bas âge!..d’un père « Lieutenant de Gabelles ».
Mais Nous sommes conscients, si ce n’est un jouracte notarié qui se cache, que rien, à priori, ne nous ouvrira la voix filiative du géniteur d’Anne CERCLAIS, fille de la précédente, né elle aussi, sait-on jamaiscomme Paul Ernest NORMANDIN et Marie MARTINET, un acte notarial de pères dit « inconnus ». Mais là nous sommes en 1815 (autre source de savoir non exploitée à ce jouraucune tradition verbale n’a pu résister au temps passé), vous révèlera peut-être un petit indice !?...
'''Notre avis de recherche ou S.O.S''' :
Entre autres, nous espérions, un jour, réussir à retrouver la fille et/, ou la une descendance de notre oncle : Charles TREPAGNE, de Paris, + en 1932 , à 23 ans: Ginette "Y", au patronyme de sa mère, de nous inconnu et , non localisée, sur la vaste région parisienneterritoire parisien. La législation qui protège les 75 dernières années contemporaines, ne nous facilitera pas la tâche !...
Une dérogation auprès du Procureur de la république, accordée pour l'année 2007, aurait pu nous permettre de relever, dans toutes les Mairies de Paris, les Ginette nées dans la période.
L'année est passée très trop vite, sans que nous n'ayons pris le temps de saisir cette opportunité. Aurait-t-il alors, fallu profiter d'une des émissions de télévision spécifique, quand elles existaient !?... Voir plus de détails à partir de notre lien et autre site :
« http://monsiteAurait-t-il alors, fallu profiter d'une des émissions de télévision spécifique, quand elles existaient !?..orange.fr/DURANDMICHON »
Voir plus de détails à partir de notre nouveau site « sfr » « MICHONDURAND » page15b.
'''Nos principales difficultés''' :
'''Nos principales difficultés''' :
'''Dans l'ascendance de mon épouse''' :
Il nous reste un point de blocage historique majeur, au niveau du couple :
DEVANNE Pierre et JOUSSE Jeanne Charlotte, X av 1737. Pierre était veuf de RENUZEAU Jeanne, X av 1728 (Mariages non trouvés). Pierre est sans doute fils du couple : DEVANNE-RENAUDIN, marié aux Cerqueux-de-Maulévrier 49, limitrophe aussi du 79.
JOUSSE Jeanne Charlotte, serait la fille de Noël et TOURNERIE Catherine, X av 1702 (on ne trouve pas ces mariages à la Verrie 85) ! ?...
Il est probable que Noël, ait pu avoir un fils ainé, du même prénom, qui se marierait à une POIRIER Marie, avant 1721. Mais, le doute persiste, car il se peut aussi, que ce soit un remariage du père !?... Un Mathurin DEVANNE, est né a) '''Dans l'ascendance de ce couple, potentiel frère de Jeanne Charlotte, ou son neveu !? le cousin germain alors, de DEVANNE Louise Jeanne, présent et cité au mariage de 1763, à la Verrie, avec GRAVELEAU Pierre ! ?... mon épouse''' :
Ces lacunes Il nous laissent imaginerreste un point de blocage historique majeur, que ces événements introuvables à ce jourau niveau du couple : Pierre DEVANNE et Jeanne Charlotte JOUSSE, auraient puX av 1737. Pierre était veuf de Jeanne RENUZEAU, avoir eu lieuX av 1728 (Mariages non trouvés). Il est sans doute le fils du couple : DEVANNE-RENAUDIN, marié aux Echaubrognes, comme au PuyCerqueux-Saint-Bonnet ou à la Chapellede-Largeau, communes très sinistrées en matière de registresMaulévrier 49, au moment des guerres de Vendée ? ..limitrophe aussi du 79.
Les archives notarialesJeanne Charlotte JOUSSE, nous permettront peut-être serait la fille de faire tomber Noël et Catherine TOURNERIE, X av 1702 (on ne trouve pas ces blocages mariages à la Verrie 85) !...?
Il est probable que Noël, ait pu avoir un fils ainé, du même prénom, qui se marierait à une Marie POIRIER, avant 1721. Mais, le doute persiste, car il se peut aussi, que ce soit un remariage du père !?...
'''Quant Un Mathurin DEVANNE, est né de ce couple, potentiel frère de Jeanne Charlotte (ou son neveu !?). Le cousin germain alors, de Louise Jeanne DEVANNE, présent et cité au mariage de 1763, à notre propre ascendance''' : la Verrie, avec Pierre GRAVELEAU !?...
Il resteCes lacunes nous laissent imaginer, avant 1751que ces événements introuvables à ce jour, voir 1741, une énigme conséquente au niveau du mariage et donc de l'ascendanceauraient pu avoir lieu sur le 79, du couple BROUARD François, charpentier, époux de MENIE** Marie, qui de Somloire et Coron (à priori supposés y être nés), ont mutés vers les soit aux Echaubrognes, la Tessoualle (forte attraction de population, du fait du bureau de marquage des toiles, comme au Puy-Saint-Bonnet ou à Maulévrier et à Cholet). Puis terminent leur vie à Yzernay, où ils y décèdent tous les deuxla Chapelle-Largeau, communes très sinistrées en 1772 et 1777. Mais avant Somloire, d'où pouvaient bien être les parents matière de Françoisregistres, comme ceux au moment des guerres de Marie, pour qui, je n'ai trouvé aucune naissance en phase, à ce jour, sur notre secteur ! ?..Vendée.
Il reste vraiLes archives notariales, que les variables du patronyme, ne nous facilitent pas la tâche**. On est certes tenté de les raccorder aux BROUARD et aux MENIE de notre région. Mais, un nid de BROUARD, charpentiers de surcroît, a été détecté à Magné 79, dès 1600 et des MONIE sont aussi présents à Cram-Chaban dans le 17. Cette dernière commune, est fort proche des Deux-Sèvres. On a pour piste objective concrète, un double mariage BROUARD, de Gilles et Catherine, sa soeur, le 29.10.1668, à Crampermettront peut-Chaban, charpentier, dit être de Magné 79; et au moins un mariage MONIE René, le 09faire tomber ces blocages !.09.1668, né en 1648.
Or, nous savons, que certains métiers, comme ceux de maréchaux, charrons, charpentiers, boulangers..... au temps des grandes familles, étaient par la force des choses, contraints, plus que d'autres, de muter vers des communes plus ou moins éloignées, pour pouvoir exercer la profession de leurs pères...
Il en était de même pour des métiers plus saisonniers, comme les scieurs de long, qui descendaient la Loire depuis le Massif Central et parfois se mariaient sur place, dans les Pays de Loire et y restaient... Les actes en ligne, devenus accessibles, pour le 79, nous permettrons de fouiller cette éventualité !... b) '''Quant à notre propre ascendance''' :
Toujours dans la période peu accessibleIl restait, avant 1751, voir 1741, une énigme conséquente au niveau du mariage et donc de l'ascendance, du couple de François BROUARD, charpentier, nous buttons sur le décès époux de Marie Hortence LANDREAU MENIE**, qui de Somloire et Coron (à priori supposés y être nés), ont mutés vers les Echaubrognes, la Tessoualle (supposé inhumée forte attraction de population, du fait du bureau de marquage des toiles, comme à Maulévrier et à Cholet 49 ou aux Herbiers 85). Puis terminent leur vie à Yzernay, où ils y décèdent tous les deux, en 1772 et 1777. Mais avant Somloire, d'où pouvaient bien être les parents de François, arrière grand-mère comme ceux de mon épouse Marie, pour qui, je n'avais trouvé aucune naissance en phase, sur notre secteur !?...
Nos quartiers sont parus à leur niveau d'évolution de l'époqueIl reste vrai, dans le "il était une fois.....Chanteloup", de Juin 2005que les variables du patronyme, à ne nous facilitent pas la SLA, cercle de généalogie de Cholet; tâche**.
Adresse On sera certes, tenté de les raccorder aux BROUARD et aux MENIE de notre arbre : « http://genewebrégion. Mais, un nid de BROUARD, charpentiers de surcroît, seront aussi détectés à Magné 79, dès 1600 et des MONIE, aussi présents à Cram-Chaban dans le 17.geneanetCette dernière commune, est fort proche des Deux-Sèvres.org/mimiche » On trouvera pour piste objective concrète, un double mariage BROUARD, de Gilles et Catherine, sa soeur, le 29.10.1668, à Cram-Chaban, charpentier, dit de Magné 79; et au moins un mariage René MONIE, le 09.09.1668, né en 1648.
Adresse Or, nous savions, que certains métiers, comme ceux de notre site persomaréchaux, charrons, charpentiers, boulangers, au temps des grandes familles, étaient par la force des choses, contraints, plus que d'autres, de muter vers des communes plus ou moins éloignées, pour pouvoir exercer la profession de leurs pères. principal : Il en était de même pour des métiers plus saisonniers, comme les scieurs de long, qui descendaient la Loire depuis le Massif Central et parfois se mariaient sur place, dans les Pays de Loire et parfois y restaient
« http://siteLes actes en ligne, devenus accessibles, pour le 79, nous permettrons de fouiller cette éventualité.voilaMais il s’avèrera bientôt, que nos BROUARD trouvent leur origine à la Jumelière, avec de premiers cheminements vers Saint-Lambert-du-Lattay, puis Saint-Aubin-de-Luigné 49.fr/MICHONDURAND »
qui donne aussi accès à notre album, des photos restant à identifier.
'''Recherche solidaire''' :
Nous réussirons aussi, à partir du mariage HERBRETEAU-GREGOIRE, du 18.02.1767, à la Verrie 85, à progresser dans l'ascendance de notre cousin germain (décédé), René ALBERTEAU***, sur un acte de fin transitoire de branche, dit : originaire de St Germain 85. Après la Verrie 85, ils ont muté sur le 49 : la Tessoualle, puis Cholet 49, Botz-en-Mauges St Pierre-Montlimart (attraction de la mine d'or avant 1939 : réf conférence SLA Fév.2008 par Joseph BREVET "Une mine d'or en Anjou"). Ils ont transité aussi par Varades, pour venir décéder à Mauves-sur-Loire sur le 44, après une deuxième noce !...
Après la Verrie 85, ils ont muté sur le 49 : la Tessoualle, puis Cholet 49, Botz-en-Mauges St Pierre-Montlimart (attraction de la mine d'or avant 1939 : réf conférence SLA Fév.2008 par Joseph BREVET "Une mine d'or en Anjou"). Ils ont transité aussi par Varades, pour venir décéder à Mauves-sur-Loire sur le 44, après une deuxième noce !... L'épouse d'Alphonse ALBERTEAU, étant une Marie Louise DUPE, née à Botz-en-Mauges 49 !.Le mariage Louis DUPE et Marie BONDU, finira par être trouvé, dans cette commune en 1864.Quand Marie Louise nait, son père légitime est âgé de 85 et sa mère 42 ans. Humour de Marie-Claire PY, sur le CGW49 : "ne se serait-il pas fait duper !?"
Le mariage DUPE Louis Cette branche d'alliance par les NORMANDIN, après avoir voyagé et BONDU Marieséjourné dans le 55, finira par être trouvés'expatrie dans les années 1945-50, sur le 64, dans cette commune en 1864puis le 40 (attraction du tourisme estival sur le littoral). Quand Marie Louise naitOn retrouve ensuite leur descendance contemporaine sur Bordeaux, son père légitime est âgé Toulon et autres régions de 85 et sa mère 42 ansFrance, ainsi qu'en Belgique. Humour Filiation donc, partie du coeur du département de Marie-Claire PYla Vendée actuelle, très mobile, aussi bien au niveau du patronyme***, que sur le CGW49 : "ne se serait-il pas fait duper !?" plan géographique.
Cette branche dD'alliance par les NORMANDINailleurs, on peut pointer à cette occasion, après avoir voyagé et séjourné dans le 55que généralement, plus on s'expatrie dans les années 1945-50éloigne de la commune d'origine, plus un patronyme, sur le 64la base d'une même phonétique, puis le 40 (attraction du tourisme estival sur le littoral)a tendance à se transformer au niveau orthographique. On retrouve ensuite leur descendance contemporaine sur BordeauxIl faut sans doute ajouter à ceci, Toulon et autres régions l’analphabétisme de France, ainsi qul'en Belgique.... Filiation doncépoque, partie du coeur du département de la Vendée actuellemais aussi les variables, très mobileplus ou moins marquées, aussi bien au niveau du patronyme***des patois et des accents, que sur le plan géographique..suivant les secteurs (voir les régions).
D'ailleurs, on peut pointer à cette occasion, que généralement, Variables plus on s'éloigne de la commune d'origine, plus un patronymeou moins handicapantes, bien connues des chercheurs sur la base d'une même phonétiquele choletais, a eu tendance à se transformer par exemple au niveau orthographique. Il faut sans doute ajouter à ceci, l' analphabétisme de l'époque, mais aussi les variables, plus ou moins marquées, des patois et des accents, suivant les secteurs, voir les régions !... patronymes :
Variables plus ou moins handicapantesDIXNEUF-GUINEU, bien connues des chercheurs sur le choletaisHINAULT-INO, par exemple au niveau des patronymes :BROUARD-BELLOUARD, BLOUIN-BELOUIN, AYRAULT-HERAULT...
DIXNEUF-GUINEU, HINAULT-INO, BROUARD-BELLOUARD, BLOUIN-BELOUIN, AYRAULT-HERAULT !........
Autres variables de patronymes, qui nous posent, encore aujourd'hui, de sérieux problèmes, pour raccorder certaines branches :
HORIEAU -) AURIAU -) AURIA -) ORIAU -) ORIOU -) OURIOU -) AURIOU...
MENIE -) MESNIE -) MENAIS -) MESNY -) MONIE -) MONIé -) MONNIER -) MEUNIER...
HERBRETEAU -) ARBRETEAU -) ABRETEAU-) ABERTEAU -) ALBERTEAU
Que ces quelques lignes vous renseignent un peu, vous passionnent aussi et vous motivent pour aller, positivement, toujours plus loin, vous que je ne connaitrai jamais !...
Que ces quelques lignes vous renseignent un peu, vous motivent, voir vous passionnent même peut-être, pour aller positivement, encore plus loin, vous que je ne connaitrai jamais !......
Le Article initial édité sur Geneafutur le 11.04.2009 Jean Claude MICHON, par moi-même en tant qu’auteur ; avec quelques révisions faites dans le texte en 2011.
[[CatégorieContenu actualisé sur Wiki par l’auteur historique : Géné@futur]]Jean-Claude MICHON le 22.03.2014.